Au revoir 2013, bonjour 2014 ! Santé et sophrologie. D’autres vœux !
Tout le monde s’échange
des « bonne année ! Et surtout la santé » !!!!
Avez-vous remarqué la
récurrence de ce souhait ? La santé ….
Mais au final, qu’est-ce
que la santé ?
L’OMS nous dit : La
santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne
consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité.
Wikipédia
précise (sic) que « Cette définition de l'OMS n'a pas été modifiée depuis
1946. Elle implique que tous les
besoins fondamentaux de la
personne soient satisfaits, qu'ils soient affectifs, sanitaires, nutritionnels,
sociaux ou culturels et du stade de l'embryon, voire des gamètes à celui de la
personne âgée. Elle se présente donc plutôt comme un objectif, que certains
jugeront utopique puisqu'elle classe, selon le pays étudié, de 70 à 99 %
des gens comme n'étant pas en bonne santé ou malade. Selon René Dubos, l'« État physique et mental relativement
exempt de gênes et de souffrances qui permet à l'individu de
fonctionner aussi longtemps que possible dans le milieu où le hasard ou le
choix l'ont placé », qui présente la santé comme la convergence des
notions d'autonomie et de bien-être ».
La santé est donc une notion bien relative. Intrinsèque
à chaque individu. Ressentie par chaque individu. Nul autre que soi ne peut
mesurer sa « santé ».
J’écarte la
conception médicale de la santé à savoir l’absence de maladie. Les individus non diplômés de médecine ne peuvent
accéder au diagnostic et au traitement des maladies.
La notion de
santé reste en toute hypothèse très large, vraiment très large !
Nous nous
souhaitons donc beaucoup, beaucoup, de très grandes choses !!!!
Pour autant, que faisons-nous pour atteindre ce « souhait » ?
A la nature individuelle, intime, relative, « ressentie » de
la santé répond une action toute aussi individuelle pour la « réaliser »,
la rendre réelle, concrète.
Pourtant,
force est de constater qu’il n’est pas aisé d’œuvrer en ce sens.
Alors qu’on
sent bien que « cela ne va pas », il faudrait encore un effort pour
aller mieux ? Difficile …
Encore plus difficile, il faut « ressentir »….
S’autoriser à entendre comment la « santé » résonne en soi, quelle
est sa forme pour soi….
Mais me
direz-vous ! Chez nous, on « avance ». On ne perd pas son temps
à s’écouter et à tergiverser sur ses états d’âme ! Je n’ai pas de maladies
avérée donc je suis en pleine forme !
Certes, je suis souvent très fatigué, j’ai du mal à me lever, j’ai
mauvaise mine, le teint gris, le cheveu terne… Je m’emporte sur mes enfants !
Je m’énerve dans les embouteillages ! Je me laisse aller à des éclats de
voix parce que j’ai raté une place de parking ! Ma vie de couple s’écaille…
Et puis, j’ai
mal au dos… j’ai une boule à l’estomac… mon transit est perturbé… je dors mal…
Je continue ?
Que sent
votre gel douche ?
Quel bruit
fait la mousse du bain ou de la souche ?
La sensation
de vos mains ou de votre gant sur votre peau lorsque vous vous douchez est-elle
la même sur toutes les parties de votre corps ?
Quelle est la
sensation de la texture de votre soin de peau ? ….
Faites-vous
encore attention à tout cela ?
Ces exemples
sont matériels…. Alors imaginez si vous les élargissez à vos relations humaines…
Vos enfants ? Votre conjoint ? Quel adjectif pouvez-vous donner pour
décrire la sensation sous vos doigts lorsque vous caressez la peau de votre
partenaire, les cheveux de votre enfant ?
La dernière
fois que vous avez pris le temps de vous sentir respirer, de vous sentir « être »,
c’était quand ?
L’instant présent…. Être, dans l’instant présent,
ce que vous êtes, en « santé », dans tous vos besoins, répondus, à
tous les niveaux de votre être, c’est ce que je vous souhaite. Vraiment.
Et, la bonne
nouvelle ! C’est qu’il est beaucoup plus simple que vous pensez d’accéder
à cela. L’effort est minime initialement et puis, très vite, dès que vous vous
mettez à l’écoute de votre corporalité, vous cheminez vers le mieux-être, un
ressenti indéfinissable : « je me SENS bien ».
La première
des clés réside dans la respiration. C’est la porte d’entrée d’une présence à
soi de qualité. Ensuite viennent des pratiques très simples, concrètes, de
sophrologie. Au fil de la pratique, vous vous renforcez, dans vos capacités,
vos ressources. C’est une autre façon d’être à soi et au monde qui se fait
jour. Rien ne change autour de vous MAIS vous avez changé : vous sentez ce
qui est bon pour vous, vous voyez ce qui est beau ; et ce qui ne l’est pas
« n’entre plus », « ne vous mange plus ».
Je vous souhaite de vous rencontrer vous-mêmes et
de savourer le plaisir de faire votre connaissance.